Marchand tisserand originaire de Vieux-Manel. Participant régulier de la foire de la Reine à Hautemire. Frère de Golbert Barrenfond
Maître du relais de l’Aimable Ecrevisse, sur la route entre Hautemire et Rimanduil. Marié à Adela, père de Yola, Madelle et Farac’h.
Apprenti forgeron nain, originaire de Pic-Noir, dans les Pays du Roc. Installé à Hautemire où il a rejoint la guilde des armuriers. Neveu de Huttnar Poingdebronze, maître forgeron du Thane de Pic-Noir.
Négociant affilié à la guilde des marchands de Hautemire, ami de Balthus Barrenfond. Marié à Sonja. Scénario 2 : il nous permet de rencontrer le prefet de Hautemire mais cette rencontre se termine mal.
Préfet de Hautemire et membre influent de la cour de Colcide. Lutin a essayé de se faire passer pour Maegus (nous sommes porteurs de la lettre d'Uma Prever) mais nous avons été démasqués par Jaina qui connait Maegus. Il meurt dans les sous sols de sa demeure, attaqué par les PJ.
Proche de Glovar Longuépée. Elle voit immédiatement que Lutin n'est pas Maegus, pour qui il essaye de se faire passer.
Assassin au service de Jaina. Confrontation au 2eme scénario. Tres puissant, avec un objet magique, nous avons immédiatement pris la fuite de chez Longuépée Glovar en brisant la baie vitrée.
Maitre espion de la Reine, il envoie les PJ espionner le prefet Glovar Longuépée.
Hautemire est la capitale du royaume de Colcide et également le fief d’origine de la dynastie des Agalides, au pouvoir depuis cinq générations.
La cité a une très longue histoire. Comme de nombreuses autres, sa fondation remonte à l’ère impériale, où elle était connue sous le nom de Bas-Ilienda. Sous l’égide des Phénix,
elle était le siège du gouverneur de la province de Reg-Amalia (qui recoupait grosso modo les royaumes de la Plume et le Nord de la Grande Algie). Avec le départ des légions et l’éclatement de
l’empire, elle a connu un certain déclin avant de renaître et de reprendre un rôle proéminent avec l’émergence du royaume de Colcide.
Le site de la ville est difficile d’accès (il avait été choisi par les Némans pour son potentiel défensif), au cœur du massif des Verses,
et son urbanisme est fortement contraint par le relief, très accidenté. Ainsi, en dehors de la haute ville, située sur un plateau, la plupart des quartiers sont situés sur des versants de montagne, avec une structure en terrasses, parfois très étroites.
A ce jour, Hautemire compte une quinzaine de milliers d’âmes. L’écrasante majorité des habitants sont humains, mais il y a un district nain renommé, et même une communauté gnome notable (ce qui demeure exceptionnel dans les royaumes algides).
La Colcide est un des royaumes algides situé au nord-ouest d’Arreus. Elle est frontalière, au Nord, des terres des Talenns, à l’Est du royaume de l’Althéna et au Sud, de la Grande Algie. Elle fait partie de l’alliance appelée Ligue de la Plume formée avec l’Althéna et la Varagie. La Colcide est une monarchie féodale, comptant trois duchés et des dizaines de comtés et de baronnies, devant in fine allégeance au trône. La dynastie régnante est stable et solidement implantée depuis plus de cinq générations. Le souverain actuel est la reine Méhalde, fille du défunt roi Godéris. Le royaume inclut cinq cités d’importance notable (dépassant les 5'000 âmes). La première est la capitale Hautemire, sise sur la crête rocheuse des Verses, au centre du pays. Les autres sont les capitales ducales : Bréance, sur la côte occidentale (duché de Bréance), Alannda, sur la rive du fleuve Helk à la frontière de l’Algie (duché de l’Helk) et Grandegarde, dans les collines forestières orientales (duché des Ramées), et la cinquième est la ville franche d’Esguerrette, au confluent de la rivière Esgues et du fleuve Priante. Les armes de la Colcide sont le corbeau d’argent sur champ de gueules. Son motto : ‘La grandeur par l’honneur’.
Au Nord de la Priante s’étend un vaste territoire de landes et de collines, habité par un peuple farouche et mystérieux, les Talenns. A la différence des états voisins, la terre des Talenns n’est pas régie par une autorité centrale. Au contraire, plusieurs centaines de clans y coexistent de façon plus ou moins pacifique. S’ils partagent une culture et une langue communes, ils n’en demeurent pas moins farouchement indépendants et razzias et guerres rituelles sont monnaie courante. Chaque clan dispose de son territoire propre, sous le commandement de son roi et l’autorité spirituelle de son druide. Souvent jugés primitifs par les autres royaumes algides, les Talenns ont en réalité une approche de l’existence beaucoup plus centrée sur la nature et les forces élémentaires. Ils sont cependant des artisans remarquables (travail du bois et des métaux), des artistes universellement appréciés (les meilleurs bardes sont talenns) et des guerriers redoutés. Les Talenns sont en effet notoirement belliqueux et les raids de pillage sont une plaie constante pour les royaumes au Sud de la Priante. La vénération des Edeni est omniprésente dans la culture talenn, et prières et petits sacrifices sont monnaie courante pour un grand nombre d’actes de la vie quotidienne. Leur pays ne compte pas de véritable ville, les clans, très morcelés, préférant se regrouper par familles vivant dans de petits villages ou hameaux. Sise sur un grand tertre, Caer-Donn est la seule cité digne de ce nom. Elle n’appartient à aucun clan en particulier, et est administrée directement par le grand collège des druides. C’est un centre commercial majeur, qui compte également plusieurs académies bardiques et druidiques. S’y déroulent les cérémonies des équinoxes qui peuvent drainer plusieurs milliers de fidèles.
On appelle Esguerette la Perle du Confluant car la ville est en effet située sur la langue de terre qui précède la jonction de l’Esgues et de la Priante, au Nord-Ouest de la Colcide. La cité n’est pas aussi ancienne que certaines de ses homologues des royaumes algides car sa fondation est postérieure à la chute de l’Empire, et contemporaine des troubles qui accompagnèrent la mise en place des états actuels. Ses habitants d’alors ayant décidé de tirer profit du potentiel défensif du confluent. Depuis le règne du grand père de la reine Méhalde (le roi Bertram), Esguerette bénéficie du statut de ville franche. Elle n’est donc pas sous la coupe d’un noble local et jouit de sa propre administration, ne devant des comptes qu’à la couronne, tout en bénéficiant d’une certaine indépendance vis-à-vis de cette dernière (ainsi, la coutume interdit la présence de troupes royales dans les murs de la ville). Esguerette est aujourd’hui une cité prospère de près de 10'000 habitants (intra-muros), qui tire sa fortune du commerce de la laine (grande tradition d’élevage dans les landes au sud de la Priante) et de sa position idéale sur l’axe de navigation Est-Ouest qui traverse la Ligue de la Plume.